Tarama au homard

Les conseils d’Antoine

Tarama au homard

Le tarama au homard est préparé à partir de têtes de homard européens travaillées façon bisque, afin d’en extraire toutes les saveurs. Cette émulsion avec les œufs de cabillaud, rehaussée par l’ajout de chair de homard, offre un produit à la fois riche en goût et particulièrement gourmand.

Le tarama au homard de la Maison Petrovskaya, délicat et onctueux, se conserve avec soin pour préserver sa fraîcheur, sa texture lisse et la subtilité de ses arômes marins.

Avant ouverture, il doit être gardé au réfrigérateur, à une température comprise entre 0 et 4 °C, dans son emballage d’origine bien fermé. Il est ultra-frais, sans conservateurs superflus, et doit être consommé avant la date limite indiquée sur l’étiquette. Il ne doit jamais être congelé, car cela altérerait sa texture et sa finesse gustative.

Une fois ouvert, le tarama doit être rebouché hermétiquement (ou recouvert de film alimentaire au contact), puis conservé au réfrigérateur, toujours dans la zone la plus froide. Il est conseillé de le consommer dans les 48 heures, car l’exposition à l’air favorise l’oxydation des matières grasses et la perte d’arômes délicats, en particulier ceux du homard.

Pour le service, sors-le du froid 10 à 15 minutes à l’avance afin qu’il s’assouplisse légèrement et libère pleinement ses arômes, sans jamais le laisser à température ambiante trop longtemps.

Conserver le tarama au homard Petrovskaya avec rigueur, c’est préserver un produit d’équilibre et de raffinement, pour qu’il livre à chaque bouchée toute sa rondeur iodée, sa fraîcheur subtile et son élégance crémeuse.

Déguster le tarama au homard de la Maison Petrovskaya, c’est s’offrir un moment de gourmandise marine raffinée, où la rondeur du tarama traditionnel rencontre la noblesse du homard, dans une texture onctueuse et un équilibre parfaitement maîtrisé entre fumé délicat, douceur iodée et subtile intensité crustacée.

Élaboré à partir d’œufs de cabillaud fumés, de chair ou de bisque de homard, d’huile neutre et d’un juste assaisonnement, ce tarama se distingue par sa finesse aromatique : en bouche, il révèle des notes de beurre salé, de corail, de coquillage, avec une légère touche de fumé noble, sans lourdeur ni excès de sel.

On le déguste frais, idéalement à 10–12 °C, directement à la cuillère ou sur un support neutre et moelleux : blinis tièdes, pain brioché légèrement toasté, pain de seigle, ou même une fine pomme de terre vapeur. Évite les saveurs trop marquées (ail, citron, condiments acides) qui viendraient écraser l’équilibre subtil du produit.

Il s’accompagne parfaitement d’un champagne extra-brut, d’un vin blanc tendu et salin (comme un Chablis, un Picpoul de Pinet ou un Muscadet sur lie), ou encore d’une vodka bien fraîche, pour prolonger la ligne iodée du tarama.

En apéritif chic ou en mise en bouche élégante, le tarama au homard Petrovskaya allie tradition et raffinement, offrant une variation marine crémeuse, élégante et réconfortante, à déguster lentement, comme un luxe discret.

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