Huile d’olive vierge extra à la truffe noire

Les conseils d’Antoine

Huile d’olive vierge extra à la truffe noire

Une huile d’olive vierge extra sélectionnée pour sa richesse aromatique, sublimée grâce au délicat parfum de la truffe (Tuber Melanosporum), véritable pépite noire du terroir provençal

Conserver l’huile d’olive vierge extra à la truffe noire de la Maison DESSIS, c’est veiller sur un équilibre fragile entre richesse végétale et parfum noble. Avant ouverture, gardez la bouteille dans un endroit frais, sec et à l’abri de la lumière, autour de 15 à 20 °C. Évitez les zones proches du four ou d’une source de chaleur : l’huile s’oxyde vite si elle est mal protégée.

Une fois ouverte, rebouchez-la soigneusement après chaque usage. Utilisez un bouchon hermétique ou une bouteille opaque pour préserver ses arômes, car la truffe est délicate et fugace. Ne la placez ni au réfrigérateur (où elle figerait), ni à la lumière directe (qui abîmerait ses composants volatils). Dans de bonnes conditions, elle se conserve jusqu’à 4 à 6 mois après ouverture, mais pour apprécier pleinement son intensité truffée, mieux vaut la consommer dans les 3 premiers mois.

Si vous remarquez un changement de goût ou une note rance, c’est que le temps a eu raison de sa finesse. Car cette huile n’est pas faite pour être oubliée : elle est faite pour être aimée, savourée, honorée.

Conserver cette huile, c’est garder à portée de main un éclat de luxe simple. Une essence à verser comme un geste d’amour pour vos plats et pour ceux qui les partagent avec vous.

Déguster l’huile d’olive vierge extra à la truffe noire de la Maison DESSIS, c’est caresser deux univers d’excellence dans une même goutte : la chaleur solaire de l’olive mûre et l’ombre envoûtante de la truffe noire. C’est un dialogue sensuel entre l’or végétal du Sud et la perle mystérieuse des sous-bois. Dès que vous ouvrez le flacon, l’air se charge d’un parfum noble : herbacé, profond, boisé, légèrement animal. L’olive chante d’abord, puis la truffe entre, grave et lente, et tout devient silence.

Versez-la avec retenue, mais intensité. Une simple cuillerée suffit à enflammer une purée de pommes de terre, un risotto, une burrata, des œufs brouillés ou même une pizza blanche. Sur un carpaccio de bœuf ou un tartare, elle devient sublime. Quelques gouttes sur un fromage affiné, un toast de champignons, ou un plat de pâtes fraîches, et l’assiette prend une dimension inattendue : celle de l’élégance instinctive. En bouche, l’huile est ronde, veloutée, presque douce mais son final est long, truffé, enveloppant.

Ne la chauffez jamais : elle est faite pour finir un plat, pas pour le cuire. Elle aime la simplicité : celle qui lui laisse l’espace de s’exprimer. Un bon pain, un peu de fleur de sel, un silence, et elle devient un poème.

Déguster cette huile, c’est rendre hommage à deux terroirs, deux rythmes, deux puissances. C’est faire d’un assaisonnement un geste de beauté. C’est, à chaque filet doré, inviter la terre et le soleil à table.

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